L’utilisation principale de l’exémestane est le traitement du cancer du sein chez la femme. L’exémestane a été commercialisé pour la première fois sur le marché américain en 2000 après avoir obtenu l’approbation de la FDA quelques mois auparavant en 1999. Le but principal de son utilisation, comme avec la plupart des IA, serait de lutter contre le cancer du sein chez les femmes ménopausées.
L’exémestane est censé désactiver et inhiber de façon permanente l’enzyme aromatase dans laquelle il est lié, rendant l’enzyme inactive pour toujours. Le rapport sang-plasma de lévérolimus est dépendant de la concentration (de 17 % à 73 % sur lintervalle de 5 à ng/ml). Environ 20 % de la concentration de lévérolimus dans le sang total est retrouvée dans le compartiment plasmatique chez les patients cancéreux recevant de lévérolimus 10 mg par jour. La liaison aux protéines plasmatiques est denviron 74 % chez les sujets sains et chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée. Chez les patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé, le volume de distribution Vd était de 191 L dans le compartiment central apparent et de 517 L dans le compartiment périphérique apparent. L’exémestane est l’un des médicaments les plus efficaces pour traiter le cancer du sein chez la femme.
In vitro, lévérolimus est un inhibiteur compétitif du CYP3A4 et un inhibiteur mixte du CYP2D6. Une altération de la cicatrisation des plaies est un effet de la classe des dérivés de la rapamycine, y compris lévérolimus. La prudence est donc requise avec lutilisation dEVEROLIMUS SANDOZ dans la phase péri-opératoire. Lutilisation de vaccins vivants doit être évitée au cours du traitement par EVEROLIMUS SANDOZ (voir rubrique 4.5). Une adaptation posologique devra être effectuée si la fonction hépatique du patient (Child-Pugh) change au cours du traitement (voir également rubriques 4.4 et 5.2). EVEROLIMUS SANDOZ est indiqué dans le traitement du cancer du rein avancé chez les patients ayant progressé sous ou après une thérapie ciblée anti-VEGF.
Par la voie aromatase, même après la ménopause, les cancers eœstrogèno-dépendants restent donc soumis à une influence hormonale d’où l’intérêt des inhibiteurs de ces aromatisations. Ils agissent au niveau de la glande mammaire mais diminuent également les œstrogènes circulants, donc les risques invasifs et de récurrence. L’utilisation d’Exemestan n’est pas limitée au PCT uniquement, elle peut également faire partie de votre cycle de stéroïdes. Il surpasse Arimidex avec environ 12% en ce qui concerne l’inhibition des œstrogènes. Mais l’exémestan est un médicament stéroïdien, ce qui signifie qu’il exerce également des effets androgènes.
La stomatite, incluant ulcérations buccales et mucite, est leffet indésirable le plus fréquemment rapporté chez des patients traités par lévérolimus (voir rubrique 4.8). La stomatite apparait le plus souvent au cours des 8 premières semaines de traitement. La prise en charge des stomatites peut ainsi inclure lutilisation prophylactique et/ou thérapeutique de traitements topiques, comme une solution orale de corticoïdes sans alcool utilisée en bain de bouche.
Les patients traités de manière concomitante par des inhibiteurs de lECA (par exemple ramipril) peuvent être plus à risque de développer un dème de Quincke (par exemple gonflement des voies respiratoires ou de la langue, avec ou sans altération de la respiration) (voir rubrique 4.5). Chez les patients qui développent des modifications radiologiques évoquant une pneumopathie non infectieuse sans symptôme ou accompagnées de symptômes mineurs, le traitement par lévérolimus peut être poursuivi sans modification de la posologie. En présence dune symptomatologie modérée (Grade 2) ou sévère (Grade 3) ladministration de corticoïdes peut être indiquée jusquà résolution des symptômes cliniques. Interrompre temporairement le traitement jusquà rétablissement à un Grade ≤ 2 (≥ 1×109/l).
La faiblesse et la fatigue sont des effets secondaires fréquent de l’Aromasin et de tous les autres IA. L’œstrogène joue un rôle clé dans le système nerveux central (SNC), et l’abaissement des niveaux d’œstrogènes trop bas pour une raison quelconque avec n’importe quel composé peut souvent entraîner une fatigue chronique quotidienne. Un retour des niveaux d’œstrogènes à des niveaux physiologiques normaux devrait atténuer cet effet secondaire.
Selon la nutritionniste britannique de premier plan Dr Marilyn Glenville, dont la spécialité est la santé des femmes, cette tendance, bien qu’extrêmement frustrante, est tout à fait naturelle. « Les femmes ont besoin d’œstrogènes pour conserver une bonne santé osseuse. À la ménopause – aussi bien artificielle que naturelle – l’organisme tente de synthétiser des œstrogènes afin de remplacer ceux qui ne sont plus produits par les ovaires. Pour ce faire, il rajoute des cellules graisseuses autour de la http://www.ecosp.ro/les-benefices-du-cours-d-exemestane-pour-les/ taille pour faire office de site de production, » explique-t-elle. Lévérolimus était supérieur au placebo sur le critère principal de survie sans progression, avec une réduction statistiquement significative de 67 % du risque de progression ou décès (voir Tableau 7 et Figure 6). Dans les études cliniques et les rapports de pharmacovigilance relatifs à la notification spontanée, lévérolimus a été associé à des notifications dinsuffisance rénale (incluant des issues fatales) et de protéinurie.
Ils sont généralement le résultat d’une réduction des niveaux d’œstrogène qui est trop grande, ou trop rapide, ou une suppression des œstrogènes trop longue. Il est également important de comprendre que l’utilisation d’Aromasin (ou de tout inhibiteur de l’aromatase) entraîne de plus grand effets secondaires chez les femmes que chez les hommes. Chez les patients ayant des tumeurs solides avancées, les concentrations maximales dévérolimus sont atteintes à une durée médiane dune heure après ladministration quotidienne dune dose orale de 5 à 10 mg à jeun ou avec un repas léger sans matières grasses. Au moment de la collecte des données, la durée moyenne du traitement était de 27,5 semaines (intervalle 2,0-165,7) dans le bras évérolimus + exémestane, 20 semaines (1,3-145,0) dans le bras évérolimus, et 26,7 semaines (1,4-177,1) dans le bras capécitabine.
L’évérolimus a semblé exacerber spontanément des pathologies préexistantes (myocardite chronique chez le rat, infection du plasma et du cœur par le virus coxsackie chez le singe, infestation coccidienne du tractus gastro-intestinal chez le cochon nain, lésions cutanées chez la souris et le singe). Ces effets ont été généralement observés à des niveaux d’exposition systémique équivalents ou supérieurs aux niveaux d’exposition thérapeutique, à l’exception des effets observés chez le rat, qui se sont produits à des niveaux inférieurs à l’exposition thérapeutique en raison d’une distribution tissulaire élevée. Des doses uniques allant jusqu’à 70 mg ont été administrées avec une tolérance aiguë acceptable. Les observations précliniques indiquent que le traitement par l’évérolimus peut diminuer la fertilité masculine et féminine (cf Sécurité préclinique).